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23 avril 2017 destructions dans le sanctuaire de RLC

Les faits

Forcément, nous devons parler d’un acte pitoyable s’étant déroulé dans le sanctuaire de RLC. Il s’agit d’une dégradation que nous ne saurions que vivement réprouver et ne surtout pas passer sous silence. Cependant, nous le ferons froidement et c’est pourquoi nous ne réagissions pas, plus qu’il ne le faut, dès le saccage réalisé. Pour info, nous avons de notre côté été prévenus semble-t-il bien avant les ténors et vitrines qui se ruèrent sur l’opportunité, rare par les temps qui courent, de se tenir devant la rampe de lumière médiatique.

En résumé, voici les faits avérés (les autres l’étant bien moins, donc visibles à la suite) :

Nous sommes le 23 avril, jour du premier tour de vote, donc facile à mémoriser. Une ‘jeune femme’ arrive vers 8h30 à RLC, elle déambule dans le village. On la voit, à 9h, à l’entrée de la billetterie du musée du sanctuaire, puis prendre un café. Vers 11h15, elle demande à se laver les mains dans un établissement de restauration près de l’église. Elle en ressort après avoir changé d’habits. On la dit, ainsi déguisée, s’installer, se reposer dans la grotte du calvaire. Se servir de son téléphone et avoir une assez longue conversation dans une langue orientale. Affublée à présent d’une cape ou manteau noir, portée sur une robe blanche, un foulard sur la tête et cache son regard sous une sorte de ‘loup’ vénitien.

Elle entre alors dans le sanctuaire, dans lequel il y a déjà des visiteurs.

Elle s’arrête à l’entrée, sort une hache et commence à frapper la statue du ‘diable rouge’. Elle finit par arracher ainsi la tête, les deux bras, un morceau du bord d’attaque de l’aile droite, et la bordure du bénitier. Elle se dirige ensuite vers le maître autel sur lequel elle dépose la tête du démon, puis explose, avec le même outil, la tête de M. Madeleine sur le relief sous le même mobilier.

C’est là qu’une personne de l’assistance s’approche de cette femme, lui parle et finit par stopper la casse. Appelés au secours, Monsieur le maire et un tiers interviennent, empêchant l’auteur des méfaits de quitter les lieux, puis les forces de l’ordre arrivent et interpellent la femme. Durant toute l’interpellation, cette dernière sera passive sans réaction violente. Elle s’exprime en termes peu cohérents de revendications sectaires politico-religieux.

Dans l’après-midi, les experts et démineurs étudient le véhicule ayant transporté la destructrice (une Golf bleu sombre, immatriculée dans le 24, nous assure-t-on). La voiture, une fois démontée ne contient que deux morceaux de fils électriques et un bidon pour le transport de carburant.

On apprend que cette femme après un premier interrogatoire est ensuite transférée dans un service psychiatrique compétent.


Nos commentaires et remarques

De tout ceci, nous tenons tout d’abord à exprimer notre stupeur, puis notre

colère contre de tels actes, cela va de soi face un comportement de ce genre, mais en excluant toute autre considération arbitraire jusqu’au moment des comptes rendus des autorités compétentes en la matière.


Ensuite nous souhaitons apporter d’autres commentaires qui forcément n’engagent que nous seuls.

-Une femme se déplaçant de manière anachronique dans le village dès les 8 heures du matin un jour de premier vote en liaison avec une élection présidentielle. Il y aurait deux témoins.

-Cette personne demande à un restaurateur de se laver les mains, entre dans les toilettes habillée d’une manière et en ressort déguisée de manière quelque peu insolite. Il y a un témoin. On cite à ce propos : « Quelques minutes plus tard, elle réapparaît habillée d'une longue cape blanche, d'un voile sur la tête et d'un masque style vénitien sur le visage ». Cette scène digne d’un film de roman-fiction des années 1960 ne choque pas plus que ça le témoin comme s’il était habituel de voir des scènes de carnaval ou bal costumé à 9h du matin près de l’église de RLC un jour de vote…

-Plusieurs visiteurs remarquent cette femme déguisée, assise dans la grotte près du calvaire, s’exprimant à son téléphone portable en dialecte visiblement arabe. Plusieurs témoins sont là, sans sembler trouver ceci gênant où en tous cas digne d’en informer une autorité ou agent du musée. Il n’y aura pas de réaction.

- La femme entrant dans le sanctuaire, sort une hache et s’attaque à la statue du ‘démon rouge’. La tête explose et les deux bras suivent dans la destruction visiblement programmée. Il y aurait eu des témoins qui n’interviennent pas… étonnante réaction.

L’auteur des premiers faits se dirige vers le maître autel, y pose la tête du démon pour s’attaquer à la destruction de celle de M. Madeleine disposée sur la façade de l’autel en son contre-bas, « devant des visiteurs ébahis » sera-t-il ajouté. On peut estimer à près de 5 minutes la rapidité des actes exécutés devant des témoins avec la réaction d’un seul (une dame parait-il… félicitations pour leur courage aux messieurs qui ne bougent pas !) qui va s’interposer pour empêcher la suite de la destruction. Pas d’autre réaction de la part des témoins à l’exception de cette courageuse visiteuse. Tout comme on ne sait pas non plus d’où elle sort une hache, un outil pas simple à cacher sur soi, admettons-le !


Parlons technique à présent.

On sait qu’il y a un système vidéo surveillant l’intérieur du sanctuaire. Si avec beaucoup d’indulgence, on peut se faire gonfler par un vague commentaire du genre « l’axe de visée de la caméra sur le démon de l’entrée se trouve en angle mort et inopérant en terme de surveillance de cette statuaire »… On va, en échange, s’insurger sur ce qu’on pourra nous expliquer sur la caméra de surveillance centrale, posée sur le confessionnal, dans l’axe de la nef entière jusqu’au… maître autel. Cette caméra de vidéosurveillance voyait donc entièrement le déplacement de la destructrice et ses coups portées sur le relief sous l’autel avec le fracas de la tête de Madeleine. Il n’y eut visiblement aucun effet, car personne à la lecture des images, retransmises au poste de surveillance à l’entrée du musée, n’interviendra ou préviendra qui de droit !!! Peut-être le système de vision n’est-il pas branché, ce qui serait encore pire en termes de sécurité ! Étonnant comme efficacité de ce système de sécurité, non ?

-Il faudra qu’enfin monsieur le maire suivi d’un de ses collègues interviennent en attendant l’arrivée des forces du l’ordre. Durant toute cette arrestation la femme ne s’insurgera pas et se laissera interceptée, passive, interrogée et isolée sans autre incident.


L’auteur des méfaits et les indications la concernant.

Ceci repris depuis interpellations retrouvées sur différents sites perso, journalistiques et autres vitrines et n’impliquant que les auteurs de ces dires que nous ne pourrions imaginer, et que chacune et chacun peut relire sur les dits sites.

On retient globalement avec les réserves responsables d’usage:

Une jeune femme d’origine mahgrébine, une information retenue jusqu’à plus ample information.

Elle serait jeune, à peine plus d’une vingtaine d’année.

Elle aurait précisé (selon témoin s’exprimant sur le net) "travailler chez un avocat et posséder un bac +3. Elle explique qu'il ne faut pas idolâtrer les statues et se décrit comme « une musulmane juive d'éducation chrétienne ». On entend qu’elle aurait déposé un exemplaire du Coran vers Asmodée… Ensuite, lui demandant pourquoi elle a commis ces actes, elle aurait répondu : « Aujourd'hui, ici, c'est un jour d'élection présidentielle, pendant qu'en Syrie l'Occident bombarde et tue des enfants. Vous êtes tous des mécréants! Mon mari est là-bas ». Il ajoutera « «C ette femme était déterminée et son geste prémédité. Elle a choisi ce jour d'élection, ce lieu précis, pour qu'il ait un impact médiatique important et ainsi porter atteinte à la République française.». Ces propos nous ne les avons pas entendus directement et nous les reproduisons selon le contenu de certains sites. De fait, nous ne saurions être tenus pour responsables si ces infos (provenance depuis des articles du journal "L'Indépendant") s’avéraient ensuite moins affirmatives qu’ici. Cependant, globalement nous pensons que nous sommes au plus près d’une réalité face à un fait d’une rareté exceptionnelle, voire unique à RLC.

Une fois certains éclairages établis nous pensons quant à nous, que depuis des contextes d’exception, une situation précisément d’exception eut lieu ici dans le sanctuaire de RLC, comme une telle chose aurait pu se produire n’importe où en France. Certes, nous ajoutons que l’impact d’un tel événement catastrophique n’eut pas ailleurs la même ampleur que dans le cadre fiévreux des décors de RLC et alentours.



Une vue d’ensemble

Pour nous, nous résumons la situation due aux actes de ce matin du 23 avril à celui d’une femme de confession musulmane ayant dans des circonstances inconnues à ce jour, ‘grillé les fusibles de sa lucidité d’action et discernement’. Au demeurant, très vite les services de sécurité d’Etat la transfèreront, dans les heures suivant son interpellation, en un lieu d’asile réservé aux ‘grands fatigués mentaux’ en terme de déstabilisation psychique, et non face à des spécialistes d'endoctrinement radical... Il y a parfois danger à ne prendre qu'un élément et le monter épingle au détriment d'une réalité qui en fond et forme serait tout autre... Nous savons parfaitement que certains 'bien-pensants' feraient plus de destructions à RLC, sans y toucher le moins du monde du bout des doigts (faute de courage forcément!!) que série de coups de hache ou de marteau... Mais ceci est une autre histoire.

A l’heure qu’il est, une enquête est en cours d’instruction exigeant sérénité et recul suffisant pour qu’y soit mené à bien les conclusions qui ne manqueront pas de nous être rapportées. En attendant, tout ne peut qu’être spéculation sans complet fondement avéré juridiquement jusqu’à ce que la fin des prospections nous en démontre peut-être le contraire. Avant, ce sont des dérives de points de vue parfois surchauffés par des éléments hélas trop habituellement soulignés par les médias ou les informations. A cet instant, disons qu’à part les faits de destructions, rien ne nous autorise à la moindre déduction philosophique absolue ou autre dérivante.

Et des ténors, en manque de notoriété de ces derniers jours, y vont de leurs affirmations de bon ton ou de circonstance, déguisés en offusqués de service à souhait d’un événement ayant pu être dramatique ou en tous cas en mesure d’engendrer une peur inquiétante. Ils commencent à se disputer le devant de la scène déjà bien entamée par les vitrines avides de se montrer plus à jour d’infos que les petits copains d’ennui ou d’escalade.


Quelques remarques à considérer sur la boite de Pandore

Nous souhaitons apporter également de personnelles remarques sur le comportement de cette femme aux intentions fracassantes au premier niveau.

En effet, on nous la décrit comme évoluant dans le village d’une manière nonchalamment voyante, sans qu’apparemment elle ne cherche à se dissimuler dans ses deux heures (hé oui quand même !) d’errance à la vue de toutes et tous, parfois sortant des toilettes en tenue de mardi-gras ou bal costumé. Un commentaire, une confidence d’après-coup, sur les vitrines assoiffées de scoop, affirme même : « Même si ce haut lieu des mystères a l'habitude de voir défiler des visiteurs étranges en quête de trésors. Là, c'était différent, raconte un habitant : «J'ai compris très vite que ça n'avait rien à voir avec le trésor de l'abbé Saunière».

Non seulement elle ne fait rien pour rester discrète, mais de plus elle s’affiche à la billetterie du musée (où il peut se trouver une caméra), consomme un café, demande à se laver les mains à un commerçant, ressort des toilettes déguisée en ‘fantomette’ de carnaval, s’assoit dans la grotte devant les visiteurs ne pouvant manquer de la voir, entre sans autre précaution dans le sanctuaire, y accomplit ses méfaits sans effort de les dissimuler, devant un public de visiteurs.

Non plus elle ne se cache pas dans un coin sombre pour téléphoner et converser sans gêne en langue arabe devant les passants. En un mot pas un instant elle ne tente de passer inaperçue en ces lieux, un peu comme si ceci lui était indifférent ou déconnecté de la réalité… comme une personne atteinte de ‘bouffées délirantes’ et non de fanatisme incontrôlable.

Dans ce genre d’inexcusable exaction, on voit habituellement des ‘fous de religion’, se cacher en personnage quelconque pouvant se fondre dans le décor, surtout en évitant de se faire remarquer de manière exubérante loufoque et bien visible, jusqu’à leur passage à l’acte… Ensuite ici la méthode est loin des scénarios tristement horribles et connus. Effectivement, la ‘sinistre terroriste’ ne s’en prend à aucune des personnes qu’elle rencontre en ayant pu les invectiver, injurier, les menacer ou leur taper dessus à la hache… en criant de monstrueuses célèbres sentences religio-vengeresses. Non, elle ne va s’en prendre qu’au diable rouge (tiens ? encore ?) et la figure de Madeleine sous le maître-autel dont elle ne souillera pas la ‘table’ ni la pierre… étonnant comme comportement radicalisé.

Combien aurait-il pu lui être facile de se faire endoctriner et instruire sur le lancer de la grenade offensive, le port de la ceinture de bombes qu’on fait exploser sur soi au milieu d’une foule ou au maniement de l’arme automatique sur des visiteurs, croyants paroissiens dans une église… De même que son enseignement semble se montrer léger dans la confection d’un explosif artisanal ou on a omis de lui expliquer que deux bouts de fils électriques solitaires reliés à rien du tout et un bidon de carburant n’ont guère de chance de se transformer en bombe à retardement ou ne demandant qu’à tuer à l’aide d’une télécommande… Qui d’entre nous n’a jamais eu dans sa voiture un morceau de fil électrique et un bidon de carburant ? Et si oui (comme ça nous est arrivé autrefois sans la moindre intention de bidouiller un explosif), sommes-nous pour autant des kamikazes, ou meurtriers fous de religion, acceptant de se sacrifier au volant d’une voiture bélier lancée dans la foule RLCéenne ??? Enfin n’importe quelle ‘cellule’ de djihadistes aurait, avec le stage d’endoctrinement, fourni le matos adéquat avec ses modes d’emploi et les cris de rage s’imposant en la circonstance, fourni peut-être des complices, puis bien entendu émis un revendicateur communiqué de signature une fois l’acte perpétré. Qu’en est-il aujourd’hui soit près de quatre jours après le sinistre ?

Certes, elle s’en est prise à un démon de terre cuite et un visage de plâtre sur la face d’un maitre-autel. Et ceci ne saurait excuser ou expliquer cela. Nous nous insurgeons et dénonçons le plus hautement et vivement ce genre de comportement et d’acte de destruction ne pouvant que révolter celles et ceux aimant ce site qui nous plait tant et nous rassemble malgré nos clivages. Mais peut-être, à force de vouloir à n’importe quelle condition, et n’importe quel prix, mettre en vitrine et en avant-scène tout et n’importe quoi comme salades, de saisons ou non, pour se rendre intéressant quand on a peu de chance de l’être intéressant, on peut finir par ouvrir une dangereuse boite de Pandore ou en trop jouant avec le feu s’y brûler, même et surtout dans le sujet RLCéen.


Un petit rafraichissement ?

Nous le répétons encore une fois pour nous cet acte aussi ignoble et répréhensible soit-il ne peut être qu’un acte de malade mental surchauffé ayant choisi ce site bien connu pour y perpétrer sa folie et ses saccages. On commence peu à peu à souligner et retenir certains termes. Ceci peut à la longue finir par inspirer d’autres catastrophiques destructeurs qui, eux, pourraient bien ne pas se contenter de la destruction d’Asmodée et d’un relief sous un autel…Tout ceci durant deux heures au vue et su de tous sans que PERSONNE ne soit intrigué ou n’ait au moins signalé l’anachronisme de ce comportement, qui va bien finir en destruction., une destruction ayant pu plusieurs fois être évitée si quelqu’un avait pris soin de s’interroger, signaler ou intervenir un peu avant ! Après il y aura beau jeu de montrer du doigt une terroriste radicalisée, surexcitée, fanatisée destructrice à n’importe quel prix. Un simple coup de fil dès les doutes aurait sans doute suffit à éviter ce qui s’est passé. Non ? Qui pourra nous nier ceci ? Après, certes il faut sans doute un peu de discernement, de courage et civisme qui tous trois, semble-t-il, étaient dans l’isoloir ce triste matin de 23 avril 2017.

Ensuite en termes de destruction, il serait temps de rafraîchir certaines mémoires depuis des saccages et vandalismes perpétué sur plus d’un lieu dans le secteur des deux Rennes et alentours. Puisqu’il est question du démon Asmodée, ou encore ‘Diable Rouge’ (comme nous le lisons à ce propos avec un peu de surprise) il nous semble bien qu’il a déjà fait les frais d’une décapitation ayant entrainé le remplacement complet de la tête… A cette occasion il nous semble bien que l’auteur de ce méfait bien que désigné à voix basses, n’ait jamais été retrouvé, ou prétendu tel, et n’ait pas eut d’origine arabe, ne parle pas cette langue et ne sois pas venu faire son ravage déguisé en fantomas… acte s’étant fait dans une indifférence quasi complète de ceux s’indignant aujourd’hui… là non plus pas de ténor ou vitrine en manque d’éclairage de scène, pas de service de déminage ou de final chez ceux ayant pété un fusible, pas d’offuscation ou phrases grandiloquentes… RIEN ! Il en sera de même pour les ‘statuettes’ (dont nous avions montré des photos sir nos sites) s’étant trouvées sur les murs de la nef de l’église… IL en sera aussi tout autant de plusieurs éléments disparus sous les gants de voleurs iconoclastes ou fins collectionneurs… et puis n’oublions pas la tête de la vierge noire de ND de Marceille arrachée puis sortie, sans doute sur commande d’un collectionneur en la matière, sans que s’insurgent et se lamentent fortement nos ténors enroués… Tant de vols crapuleux dans ces domaines ne soulevèrent rien d’autre que deux lignes dans quelques vitrines locales… Des dégradations aussi sont au rendez-vous des saccages. Par exemple le fameux ‘fauteuil du Diable’ faisant les choux gras sur RLBains et au sein de la faune RLCéenne. Ce mégalithe lui aussi se trouve à présent dégradé et affublé d’une gravure qu’aujourd’hui on finit de considérer comme d’origine et ne remontant qu’à quelques décennies en arrière sans que nos vitrines ou autres ‘spécialistes’ ne s’insurgent, s’indignent en sanglotant, criant à l’horreur, au scandale et à la profanation… RIEN !!!

N’oublions pas en termes de profanations celles s’étant déroulées durant des années dans les différents sanctuaires si étroitement liés aux éléments des deux Rennes et leurs alentours, ceci sans actions, plaintes ou hurlement de douleurs… RIEN !!! Nous en passerons et des meilleurs !!!


Mémoire et centenaire ?

Sans doute de ceci restera une mémoire et dans un siècle célèbrera-t-on dans de petites vitrines d’appâts verrons-nous une grande commémoration célébrant le centenaire de la destruction du ‘diable rouge’… où les uns se prendront plus au sérieux que les autres ? Plus rien d’étonnant en la matière RLCéenne…


Le 29 avril 2017

André Douzet

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